Un et deux, le bas est en haut. Les mots. La peur est revenue sans nombre. Nue. À l’horizon, l’œil, l’eau, la mer étale, le genou est à flot. La chaleur mord le dos.
Les doigts dansent, en bas en haut, glissade sur l’eau, ricochets des mots. Le vent s’absente. Le bleu se poudre vert. Soleil. Le calme est revenu. Si douce est la chanson.
Dans les marais, le bleu s’impose, les arbres tendent leurs mains à l’oiseau solitaire. Oiseau d’air, nuage blanc, sur la peau un baiser. Paisible est l’eau. Épure.
Les doigts dansent, coulent sur l’eau. Silence du vent. Le temps se suspend dans le vert, dans le bleu. Quiétude de l’instant. De l’un à l’autre tout simplement.
Les doigts dansent, en bas en haut, glissade sur l’eau, ricochets des mots. Le vent s’absente. Le bleu se poudre vert. Soleil. Le calme est revenu. Si douce est la chanson.
Dans les marais, le bleu s’impose, les arbres tendent leurs mains à l’oiseau solitaire. Oiseau d’air, nuage blanc, sur la peau un baiser. Paisible est l’eau. Épure.
Les doigts dansent, coulent sur l’eau. Silence du vent. Le temps se suspend dans le vert, dans le bleu. Quiétude de l’instant. De l’un à l’autre tout simplement.
1 commentaire:
...poésie au doigt et à l'oeil
Enregistrer un commentaire