De grands lambeaux de ciel
boivent l’horizon
les mots s’inscrivent
ingurgitent l’encre
silence d’eau
pierres rouges des carrières
cheveux dorés des lisières
les forêts se teintent
dans l’échancrure de la route
un ciel sans nombre
mémoire ancienne
d’une voix centenaire
point d’accroche au mystère
la nuit s’étale
ouvre ses portes
- silence écrit -
perles d’onyx
4 commentaires:
"Le ciel et la terre, l'ici, l’au-delà
Ô Toi sans pareil, Toi, tout n’est que Toi"
Malek Jân Ne’mati
merci pour cette eau de silence
"— Quel est ton nom ? lui dis-je. Il me dit : — La prière. -" V. Hugo
comme une porte qui ouvrirait sur le ciel protégée par les gardiens du seuil...
Ne pense plus
afin que mon silence te parle
Ecoute
texte et peinture comme cette belle journée qui s'annonce
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