fenêtre ouverte
Eaux des sables mouvants
où tout se perd sous le voile
l’amour est là dans un grain
brisure fenêtre ouverte sur le monde
la rue sans ciel crie sa faim
mie durcie jour rassis
corps métaphores
aux mains de plumes blanches
sur la barque du temps la sueur de nos doutes
nos masques d’argile
taisent nos vanités premières
3 commentaires:
aucun doute tu as toujours les beaux mots.
Oh ! Gérard
Je suis contente de te "revoir" enfin de te relire
A bientôt donc après ces longues vacances
;-)
...merci, moi aussi Maria.
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