mardi 18 septembre 2018

fenêtre ouverte







Eaux des sables mouvants 
où tout se perd sous le voile 
l’amour est là   dans un grain 
brisure     fenêtre ouverte sur le monde 
la rue sans ciel crie sa faim 
mie durcie       jour rassis 
corps métaphores 
aux mains de plumes blanches 
sur la barque du temps la sueur de nos doutes 
nos masques d’argile 
taisent nos vanités premières 




3 commentaires:

Gérard a dit…

aucun doute tu as toujours les beaux mots.

mémoire du silence a dit…

Oh ! Gérard
Je suis contente de te "revoir" enfin de te relire
A bientôt donc après ces longues vacances
;-)

Gérard a dit…

...merci, moi aussi Maria.