Dans le ciel bleu d’étranges lueurs ceignent l’horizon. Là-bas au bord du temps. Bientôt le soir viendra s’incliner sous le feuillage avec lenteur, au rythme du balancier de l’horloge et des étoiles.
Là-bas du sud au couchant le vent salé balaie les récifs, attise le feu des heures et du temps.
4 commentaires:
Plaisir de se promener chez vous comme une brise purifiante
Amicalement
j'aime beaucoup ta première phrase
@ arlette ...
merci arlette pour ce souffle matinale
heureuse de vous revoir :-)
@ Gérard ...
Alors, elle aurait pu suffire à elle seule. :-)
merci
https://www.chrislacant.net/
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