Le vent souffle les cailloux dans l’herbe. L’eau, l’air, la raison ruissellent. Tout est cercle partagé au-dessus du temps. Les oiseaux comme des vaisseaux tournent, s’opposent au vent. Le ciel est grand, sa porte ouverte à tous les temps.
Les arbres appellent les eaux du ciel, sucrées, salées, acides, ou même poivrées. Carré d’étoiles au temps trouvé. Le vent se tait, les corps palpitent, sur les visages la vie s’invite. Image du ciel, la nuit, le jour, passent les secondes.
3 commentaires:
et les hommes passent
"Des mots
me viennent
ils sont
les mots arides
de la soif"
Charles Juliet
(Moisson)
merci beaucoup à vous deux.
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