La pensée se lie à l’art, à la beauté initiale.
Le sentiment que l’âme s’illumine.
Le sentiment que l’âme s’illumine.
Le sang brûle la brume
Je remue la cendre du soir, accrochée au bord du jour. Miettes de papier, l’âme consumée se détache du jour. Brunante.
Les étoiles se défroissent.
La tenture du silence se retire et dévoile la nudité rassurante des ténèbres. La paix des corps endormis dans la lumière funèbre.
Paupières closes en un sourire.
En un sourire...
RépondreSupprimerJe regarde la roche
RépondreSupprimerEt le sarment se fait
Le serment de Lascaux
Qui trace de ses braises
Les tisons de l'art majeur
Je ne veux pas radoter en disant que j'aime tes textes alors aujourd'hui je te dirai que j'aime aussi beaucoup tes illustrations. Amitiés.
RépondreSupprimerCe poème très sensible me touche beaucoup. Si les hommes à l'exemple des mots pouvaient s'associer, le monde irait beaucoup mieux.
RépondreSupprimerDouce soirée !
les étoiles chantent le silence nu
RépondreSupprimer"Je dois me délivrer de ces images.
RépondreSupprimerJe m'éveille et me lève et marche.
Et j'entre
Dans le jardin de quand j'avais dix ans"
(Yves Bonnefoy)
Des fragments d'âme en suspens
RépondreSupprimer@ François ...
RépondreSupprimermerci
j'aime Bonnefoy
@ Annick B ...
Que ton commentaire est beau !!!
merci
;-)
Je retrouve ton âme poète
RépondreSupprimeret moi ton nouveau lien
RépondreSupprimeralors, j'y cours ... ;-)