Les mots glissent sur le fil
incrustés dans la stèle du vide
vide si plein des syllabes de la vie
une main caresse la pluie retient le frisson engendre le verbe
et
l’offre au monde
aimer aimer aimer encore cette glissade sur le fil
l’écrire sur la portée
et
heurter les unes contre les autres les syllabes du silence
heurter les unes contre les autres les syllabes du silence
1 commentaire:
... dans ce silence
qui juxtapose !
Enregistrer un commentaire