Infiniment tendres
corps en partance
sur le rebord de la griffure
une contracture
une déchirure tout sans armure
la pensée sombre dans les abysses
une morsure
visages sans rage
phrases ouvertes
images découpées
collages d’un autre âge – un naufrage
cœurs noués au mat de la pensée
dans leur main
un grain de sable
l’espoir luit
mains de velours sous les nuages
la liberté
une aventure
grandeur d’âme – noblesse des corps
l’œil est ouvert
il regarde et entend
les choses et les hommes
les paroles noyées qui écument le sable
et les histoires de mer
RépondreSupprimer"Corps en partance"
RépondreSupprimerc'est ce qu'il faut quitter
apprendre à s'en aller
le plus dur a-venir
mais tenir
dans les mains en coupe
toute une vie
en offrande
Merci pour tes mots
" L'oeil est ouvert
RépondreSupprimerIl regarde et entend
Les choses et les hommes
Les paroles noyées qui écument le sable "
Je plonge en ces mots, Ma Maria ...
Ils dansent en moi comme une ritournelle ...
Ivresse des silences aux lisières des vagues à l'âme ...
@ Brigetoun ...
RépondreSupprimeroui Brigitte,
sans arrêt en allée
sans arrêt recommencée
@ Estourelle ...
oui,
quitter
se départir
sans oublier
et aimer
@ Kaïkan...
s'enivrer de silence
là est bien la force qui sommeille en nous
un abrazo fuerte
>>> à vous trois
merci tout grand pour votre visite et vos mots