Bruissement clandestin
dans l’allée des songes
les rêves s’étirent
jusqu’au bout du sommeil
le ciel est un voile
un lambeau de mémoire
noire sur noir est l’empreinte
qui jaillit du souvenir
une étoffe ancienne
perlée de secrets
de mots tus
bouche cousue
mon sommeil ne finissant pas je vais rester dans e rêve
RépondreSupprimerAlors, restons dans le rêve ...ici
RépondreSupprimerMotus et bouche cousue ...
RépondreSupprimerCes mots chantent au dedans de moi, comme ce jeu d'enfant qui sautillait pour arriver au Paradis ...
Motus et bouche cousue ...
Un ...
Deux ...
Trois ...
Quatre - cinq ...
Six ...
Sept ...
Huit - Neuf ...
Paradis ...
Et là, éclater de rire , encore et encore ...
Baisers d'enfant vers toi, Ma Maria ...
RépondreSupprimer@ Kaïkan ...
oui, et sans se retourner sur les portes de l'enfer
avancer encore et toujours sans se départir de l'enfant que nous fûmes
Je t'embrasse mon amie