Il manque le ciel
le couteau des nuages
et la forme de l’image
je vois ce que nous sommes
visages des hautes terres
les heures sont compressées
les sillons sont tracés
au loin des voix résonnent
les branches soulignées
jje renonce... vais en rester ce matin à un salut aux visages des hautes terres
RépondreSupprimerje vous salue Brigitte... :-) :-)
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