Je suis de celles qui étreignent la vie, les hommes et les femmes. Je suis de celles qui touchent les corps et les cœurs des hommes et des femmes, de celles qui se lovent dans les bras et l’amour des hommes et des femmes. De celles qui reconnaissent Dieu dans les yeux de l’enfant.
Le mot de la terre, ce frisson sur la peau. Pensée. Le verbe est né :
aimer
8 commentaires:
« Le verbe, sublime voyageur des temps fabuleux, exalta l’heure faste de ton sacre: devant toi se déploie l’itinéraire de l’esprit donnant sur l’infini. Seul tu y voyages, intarissable émerveillement.» (Rabindranath Tagore, L’esquif d’or, Éditions NRF Gallimard, page 122)
Ah!!!! OUI
à perdre la raison
c'est un bon début
un commencement
♥♥♥
Une chance inouïe !!
http://www.youtube.com/watch?v=fBVQT6F8ukI
@ Merciel ...
merci pour cet écho
Tagore
;-)
@ arlettart ...
OUI !!!
toujours difficile d'entrer chez vous
@ Annick B ...
le beau moustachu ICI
@ Patrick Lucas ...
à l'infini
;-)
@J... ...
♥♥♥
@ Estourelle ...
n'est-ce pas !!!
@ Alain Gojosso ...
Yes !!! All Must Be Love
>>> belle soirée à tous
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