"Arraigado ; pero que no se vea tu raíz. ¡ Solo, en el día nuevo, lo verde, el pajaro, la flor ! " Juan Ramón Jiménez
lundi 24 novembre 2014
écho
Ne plus penser
se taire douter
une facétie
la vie jetée aux yeux tout passe
tout lasse
de cette histoire rien un décor une dorure
on arrache l’herbe
fond de jardin
armes bannière héros
vas viens invente une variation
du vent et feux éteints
tout compte
le souffle l’horizon le calme
et tranquille
la vie
on passe
la peur la voix au ciel batailles embrassades
l’avenir l’ennemi
le haut le miséricordieux
une réconciliation
ni oui ni non
tout se transforme
une facétie
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2 commentaires:
chaque mot a son poids poétique et de vie. Les silences entre eux leur donnent une résonance vibratoire.
De fil en images percutantes!la mémoire s'imprime.
merci chère Maïté pour me parler de résonance car il s'agit bien de cela, de résonance ...
merci pour vos mots ici et ailleurs
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