lundi 22 février 2016

debout







à la verticale 
dépouillé 
dans le silence 

solitude 

la vie s'en va 
le vent se lève 
la lumière filtre 
le cœur se brise 
dans la main obscure du froid 

terre aride 
la vie est là 
debout 

le jour se meut




5 commentaires:

François a dit…

Dans ce mouvement du jour à peine à peine, la vie respire, un souffle l'anime, cette force extérieure, cette énergie qui produit le mouvement et la verticalité.
Bien à vous chère Maria .

Anonyme a dit…

je me sens chez moi dans tes mots dans tes encres.. merci j'aime
photodilettante

LE CHEMIN DES GRANDS JARDINS a dit…

Malgré la mélancolie du texte, j'aime ta musique des mots. J'y trouve de quoi espérer.

Amitiés.

Roger

Maïté/Aliénor a dit…

Toute une ambiance où cependant veille un filet de vie.

mémoire du silence a dit…

@ François ...

Je retiens le mouvement et la verticalité, animés par un souffle, je ne dirais point lequel... merci cher François et beaux jours à vous




@ photodilettante ...

Merci d'y être entrée cela est consolant et m'encourage... ;-)




@ LE CHEMIN DES GRANDS JARDINS ...

la mélancolie m'habite... et on ne s'en départit pas si simplement
merci Roger pour tout et jours doux...

Amitiés



@ Maïté/Aliénor...

La vie et rien d'autre n'est-ce pas... c'est si simple et si compliqué cependant, ne désespérons pas...:-) merci chère Maïté pour vos mots ici, là et ailleurs ... je vous embrasse