J’aime les enfants qui courent dans la rue
et qui demandent justice au dessert
j’aime les enfants qui font l’amour non la guerre
J’aime les enfants qui bousculent l’ordre établi
et courent après leur dessert dans le cercle de minuit
Ne mourez jamais chers enfants du monde et de la rue
embrassez-vous debout contre les portes de la nuit


3 commentaires:
Meurt-on un jour, (et sans dessert) ?
Je les aime aussi ces enfants et ta poésie.
@ michel. ...
oui, et plus souvent qu'on ne croit ;-)
merci pour votre oeil ;-) encore et encore
@ Ariaga ...
je n'en doute pas chère Ariaga
merci du fond du coeur en une nuit sacrée ;-)
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