" Vivre en poésie, ce n'est pas renoncer ; c'est se garder à la lisière de l'apparent et du réel, sachant qu'on ne pourra jamais réconcilier, ni circonscrire.
" ~ Andrée Chedid
mercredi 11 mars 2020
cette nuit
Cette nuit
j’ai crié ma douleur
dans le cœur de l’arbre
ses branches ont frémi
mon cri s’est brisé dans la pénombre et dispersé dans les étoiles
Merci beaucoup cher Anonyme J'aime beaucoup beaucoup, et en retour je vous pose la totalité de ce "voyage d'hiver" de Schubert interprété par cinq voix différentes.
Si les arbres n'étaient pas là pour nous accueillir, si leur cœur était de marbre, si le chant de leurs branches et le doux mouvement vers le ciel ne nous étaient pas offerts, Nos cris comme ceux de Munch resteraient silence Pesant.
6 commentaires:
Des mots accoucheurs...
@ Miche ...
oui, une libération !!!
https://www.youtube.com/watch?v=sTnopb-Q7Xs
Merci beaucoup cher Anonyme
J'aime beaucoup beaucoup, et en retour
je vous pose la totalité de ce "voyage d'hiver" de Schubert interprété par cinq voix différentes.
Oh, je comprends pourquoi j'ai vu de nuit un arc en ciel voilé ...
Pensées douces vers toi, Ma Maria
Si les arbres n'étaient pas là pour nous accueillir,
si leur cœur était de marbre,
si le chant de leurs branches et le doux mouvement vers le ciel
ne nous étaient pas offerts,
Nos cris comme ceux de Munch resteraient silence
Pesant.
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