Alors… l’homme
voulut oublier ses rêves
il allongea le bras
il ouvrit la main
les racines de ses rêves
longues et pénétrantes
l’emprisonnèrent
il demeura captif entre ces doigts de sève
alors… l’homme
regarda ses rêves
il referma la main
il ramena son bras
les racines de sève
lui redonnèrent vie
lui chantèrent l’espoir
et la peur… aussi
2 commentaires:
la peur et l'espoir emmêlés imbriqués tissés si serrés
"Oh dis l'homme je chanterai jusqu'à la fin des temps
et la peur fera parti de mon chant!
alors je ne perdrai pas mes racines!"
apprivoiser ses peurs
libère de ses chaines
et conduit aux origines
merci Estourelle
Enregistrer un commentaire