En silence
les mots franchissent
les murs noirs
rêves blancs
la vie
joue à l’ infini
sans ordre
en noir et blanc
un sanglot
un long chant noir
exulte à la face
cri blanc
main blanche et déraison
main noire à corps perdu
silence de soie
la clarté achève le monde
croire en la peau blanche
la peau noire en liberté
grande lumière sur le sable
à l’abandon
lisse et paisible
armes déposées
dévoiler la pensée
la joie d’un frisson
rire noir du blanc de l’œil
les oreilles sont au visage
détournées de la parole
noire
sur le blanc de la feuille
2 commentaires:
Tao ...
Oui, chère Miche,
"L’ultime Suprême"
les deux extrêmes d’un tout qui coexistent.
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