Ils posent leur fardeau à l’entrée du jardin. Ils ont blessé leurs pieds, mordu les souvenirs. Ils ont écrit leur marche, le frisson de l’instant, le doigt de la vieillesse et le rire des moissons. Ils marchent et ils s’en vont, l’un boite l’autre pas, ils accordent leurs pas au son de leur raison.
2 commentaires:
Une nostalgie de la mémoire.
Ils n'ont plus peur
seulement de leur cœur
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