La peau est comme la suie. La peur est sur l’avant. Un ciseau coupe le vent. Les arbres sont apprêtés, ils attendent l’été, le cœur dans les souliers.
L’enfance est là, présente, sans fin, cachée dessous les pierres. Le monde lui ouvre les bras, un monde de renouveau, de pardon, de bonté.
2 commentaires:
un texte qui m'a amené un sourire pour ce matin
J'en suis heureuse Brigitte :-))))
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