Plafond de verre
sentiments à pleines mains
cœurs bouleversés
Illusions perdues
dans un monde incertain
sentiments jurés
Un temps infini
sur des eaux en partage
les jours sont heureux
Il y eut un soir
un matin de lumière
le ciel pardonne
Un éblouissement
la peau douce effleurée
le cœur en émoi
Au commencement
était l’absence sans fin
tout recommence
Au soleil levant
le sacrifice fondé
pour une guerre
Nous sommes entre
des sentiments partagés
de joie et chagrin
Oiseaux sauvages
les cœurs sont en partance
simple merveille
Heureux il chante
cœur au ciel et aux nuages
les oiseaux passent
4 commentaires:
et les humains oscillent
va-et-vient d'un extrême à l'autre
entre l'excuse d'être et le désir d'exister
"Au commencement
était l’absence sans fin
tout recommence"
merci...
Merci à toi, à vous...
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