La vérité brûle
soleil versé sur l’eau
morsure des cailloux
la flèche est sur la corde tendue
à l’agonie
le cœur est sur la main
soleil froissé au ciel gémissant
la vie défait le fil de la gaieté
fleurs d’amandier haut dans le ciel
comme graines jetées aux colombes
mots rêvés sur la corde brisée
ô maison des morts
où les barques échouent
cœur ouvert ciel en croix
dernière trace
3 commentaires:
en haute poésie
le froissement des pensées après lecture et relecture de ce poème...qui laisse trace...
merci à vous deux pour votre lecture et relecture :-)
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