Eau salée de la mer rouge
majestueuse clarté des rives
un doigt posé sur le rivage
ferveur venue d’un autre âge
instants de grâce au firmament
éblouissement
corps en apesanteur
plus soutenu par l’air
qu’un souffle dans le ciel
le temps respire le pied au sol
la porte du jour ouvre à la vie
au début la dernière page
un accomplissement en bout de ligne
ni regrets ni remords ni repentir
yeux éclairés et cœur en paix
le jour s’en va la vie est lente
et l’espérance si captivante
5 commentaires:
superbe... merci
Merci Brigitte,
me voila toute rose de plaisir.
;-))
Aveuglement de l'amour aveugle, où perce le regard intérieur des sentiments .
Oui, c'est très beau.
Bien à vous Maria.
Aveuglement de l'amour, où perce le regard intérieur des sentiments
"Ojos tristes, que verán
las costas que otros no vean..."
Rafael Alberti.
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