Le sommeil est venu de si loin. Tout bascule. Léthargie des corps. On dirait que tout dérive à la porte du paradis. Silence et solitude, le rêve est semblable à cette vie qui sombre. La frontière est si fine juste avant l’aube.
Les yeux ouverts le temps force l’ascension. Corps perdu dans le clair matin. Une ouverture sous les branches, soleil éphèbe à l’orée du jour.
2 commentaires:
aimerais (sourire)
aime le lire
merci.
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