Crier
assoiffé
éclaboussures
à la surface du monde
un écho
une voix en chemin
un enfant – un oiseau
un frisson sur l’eau
un songe
une nuit d’été
sur un croissant de lune
rêves à genoux
cœur en bouche
il reste la lumière
le silence des fleurs
la vie est illusion
à la croisée du temps
paradis perdu – sable fin
tamisant les eaux
d’un ciel d’orage
ici
ailleurs
la voix éternelle
ce qui reste de splendeur
aux étoiles perdues
3 commentaires:
et même quand elle manque il reste son idée et son attente
N'en perdons jamais sa trace chère Brigitte, elle nous guide....
Oh oui, la vie
est la lumière des hommes !
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