Le temps va
lavant sa peine
au pied des arbres
chemin tracé
rêves retrouvés
le cœur en bouche
que la joie vienne
genou à terre
l’œil bien ouvert
le charme inonde
les petits riens
il reste
au cœur des images
une terre soulevée
aux yeux remplis
2 commentaires:
Un genou par terre, Ma Maria, tels des chevaliers, chevalières des temps modernes ...
... et je t'accueille bras ouverts chère Kaïkan
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