Il y avait l’océan le ciel
le sel sur les lèvres
et la caresse du vent
sur le visage
le bleu le gris
le vert des vagues
qui roulaient
disparaissaient
sur la lande à perte de vue
la bruyère en fleurs
les ajoncs lumineux
le sentier de pierres
le paysage est un état
une âme vagabonde
qui nous pénètre
nous ensorcèle
nous ouvre à l'âme du monde
4 commentaires:
Oui !
"le paysage est un état
une âme vagabonde
qui nous pénètre
nous ensorcèle
nous ouvre à l'âme du monde "
et je retrouve dans ces vers la saveur de mes six ans
merci !!!
ces saveurs en nous, éternelles...
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