rêve sans nombre
Rire du ciel
la lumière appelle
clé et serrure
au cœur de l’enfant
sable
sur la plage un château en ruine
une mine de rimes
un grand chambardement
des traces se croisent
les vagues divaguent
et sur l’île de l’oubli
un château d’Espagne
l’horizon s’éteint
je reste dans l’ombre
presqu’île de satin
et mes rêves sans nombre
3 commentaires:
La musique éloignée d'une enfance en allée.
C'est très beau, merci chère Maria.
l'île sans cesse
nous reprend
tes mots résonnent
je reviens d'une île
ce fut si fugitif
le bateau nous pose
nous reprend
avons nous rêvé l'île
superbe !
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