avec pierre b ...
Il n'y a pas de passants qui passent..pas d'autos qui se déplacent..sur la route on déambule comme un promeneur ivre pour ne pas se faire face...chacun son espace..chacun à sa place..
Les coiffures sont en bataille...on a les racines apparentes et les pieds sur terre...on vit à l'envers des journées d'hier..on compte ses pas et son temps par crainte des représailles...
C'est le temps des sans contacts et des jours désemplis...on fait tout à distance...les paiements...les gestes tendres..le travail...on essaie de se rappeler ce qu'était la vraie vie...on ne veut plus de ce monde en pagaille...
Je rêve de liberté...avec pour seule frontière l'horizon qui se dérobe en marchant...de plages que la mer découvre et que le temps fait frissonner..de marchés en plein air avec ses étals de couleurs et de reflets d'argent..de spectacles et de concerts qui nous font vibrer..
Je veux pouvoir écrire sur des pages tendres qui gardent l'empreinte de l'été...chanter sur les ailes des toits et les faire s'envoler..inventer des histoires à rêver debout et même des baisers..donner à l'avenir une chance de se réinventer...
pierre.b
Il y a l’ivresse pour faire face...
Les racines à l'envers par crainte des représailles... sans contacts tendres… la vraie vie en pagaille...
Je rêve d’horizon... de plages et de frissons... de couleurs des spectacles… de concerts pour vibrer…
Je veux écrire l'empreinte de l'été... chanter… inventer… rêver de baisers…
Maria-D
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Il y a la route ivre, les pieds à l'envers, ses pas, son temps ... jours en pagaille.
Liberté, horizon, mer..
Frissonner de couleurs, vibrer, écrire les ailes, rêver...
Debout, des histoires à se réinventer.
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Bourrache
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