La vie s’en va en silence
et soulagement
traces anciennes sur le carreau
la pierre est chaude
les mots urgents pour dire l’instant
cailloux et sable les grands serments
les oiseaux nichent dans l’herbe exquise
leur chant caresse la peau griffée
nous sommes le temps désagrégé
le cœur des choses en un sanglot
d’un temps ancien immémorial
enfance perdue la vague immense
entre les rives les eaux avancent
cœurs en semence auréolés du tendre
long soupir d’une nuit palpable
5 commentaires:
ne pouvons rien contre le temps que nous y couler
File la laine, filent les jours
Garde ma peine et mon amour
Livre d'images des rêves lourds
Ouvre la page à l'éternel retour."
Pour Brigetoun et Maria Dolores :
https://www.youtube.com/watch?v=0G1mErCe_e0
Et l'éternel présent
qui nous donne la vie
@ michel ...
oui, merci... cliquez sur les lignes au-dessus ;-) :-)
@ Estourelle ...
sans limite ...
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