Grande vague de silence
pour oublier
oublier le ressac
oublier le tremblement
cœur en boucle et boucle au cœur
toujours les mêmes drames
les mêmes colères
la confiance perdue les oiseaux disparus
sommes-nous au cœur de l’immense
en partance au commencement de la fin
armes en bouche et bouche en larmes
sommes-nous le secret de l’histoire
la vie avance la vie perdue sous les branches
les feuilles mortes le silence des oiseaux
ce monde vieillissant nous gerce le cœur
4 commentaires:
mais le coeur gercé le dit avec un rythme qui est presque de danse - berçons nous
"ce monde vieillissant" :
vieillissons nous au monde ?
Bonjour Maria
quel beau texte qui pose des questions tapies au fond de nous.
sommes-nous au cœur de l’immense
en partance au commencement de la fin ? peut être?
ce monde vieillissant nous gerce le cœur (la seule voix humaine en nous).
jai ecoute l'adaggio dessous il est superbe.
Merci
amitie
michèle
@ Brigetoun ...
oui Brigitte, il nous faut sublimer...
@ michel ...
et se rendre compte que nous n'avons point vécu ...
@ michèle ...
merci pour tes passages attentifs et bienveillants
>>>>>> Beaux jours à vous trois
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