Le courage est déconstruit
la gaieté mord le cœur
poing levé vers le ciel
tout est libre dans le temps
une fantaisie légère plus forte que le vent
fluidité de l’air
vérité première au cœur de l’histoire
le ciel est serti de pierres
clefs des songes
petits cailloux de l’ombre
les bouches ont soif
pleines du rire des anges
sur le sable se dessine le visage de l’espoir
là-bas sur les rochers l’ombre d’une aile s’allonge
courir vers le large
le cœur ricoche sur la rive
comme une source
une lumière d’orient que l’on ne boira pas
2 commentaires:
bellement et poétiquement dits : jeunesse et printemps
Quand le monôme idiot te barrera la route
Reviens donc sur tes pas ils mènent au printemps
Et tu murmureras pour celle qui t'écoute
Lorsque je faisais ça moi j'avais dix-sept ans"
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