Penser à ceci à cela
une histoire de temps à venir
passons et allons sur l’autre rive
au bord de l’autre nous sommes
le plaisir sur la branche
entendre et voir le silence
monter descendre les heures avancent
des cailloux plein les poches
remontons les horloges
qu’importe la technique
je te vois enfant futé des sortilèges
qu’importe la mécanique
dans le brouillard le sable pleure
les arbres meurent sciure sur la planche
nos cœurs en manque dans l’or de l’ombre
obscure lumière les voix du soir
sur l’autre rive quiétude des eaux
quand le soir tombe la rive appelle
2 commentaires:
j'aime, ai toujours aimé la rive du soir
finalement je passe ma vie à l'attendre
Moi aussi j'aime l'arrivée du soir, les lumières sont si belles... et la nuit rassurante...
merci Brigitte pour vos mots
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