Les yeux au fond du cœur, ne pas pleurer, donner du grain à l’âme, de la paille à l’arbre. À l’heure du jour restée sans voix.
Le cœur à rire, le pied alerte, le regard clair et sur le sable l’empreinte d’un souffle. Chemin des âmes, des ombres peintes sur les rochers.
Dormir encore le cœur au calme, sans larme à l’œil, sans rouge aux joues.
À l’horizon la vague avance, l’oiseau la suit, les enfants chantent, leurs voix déchirent le ciel en flammes. Temps retrouvé dans la pensée des jours défaits.
1 commentaire:
jours défaits mais que c'est beau
la vaue, l"oiseau, les enfants le texte et cette chaleur de l'oeuvre
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