Les heures
ne sont-elles que décompte
que l’on donne à la vie
partir
s’éloigner du monde
au fil de l’onde
la postérité
est entre les lignes de nos mains
froissées
nos doigts défaits
jadis habiles
tirant le fil de nos écrits
une page tournée
un poème assassiné
sans pitié

6 commentaires:
oh Maria moi qui admirais l'esprit qui animait vos doigts pour l'écrit et ler docilité comme leur souolesse pour le dessin ne dites pas du mal d'eux
" Vivre en poésie, ce n'est pas renoncer ; c'est se garder à la lisière de l'apparent et du réel, sachant qu'on ne pourra jamais réconcilier, ni circonscrire. " ~ Andrée Chedid
Vos mots Mémoire du Silence, dansent sur cette "lisière"...
merci Brigitte pour votre accueil ... :-)
tel un équilibriste... merci
Et là, au détour des rimes ressuscitent l'un et l'autre mot en quête de nouvelles poésies ;-)
tendrement vers toi, Ma Maria <3
comme une lettre à la mer chère KaIkan...
abrazo fuerte
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