mercredi 17 décembre 2025

Écrire en marche arrière et à double sens

en partant du mot : silence 
 

 
 

Les mots sont cette voix lointaine et souveraine, dans le silence impossible du sommeil, compagnons de veille en ces nuits qui s’allongent, ils s’habillent de mystère, nous murmurent des légendes ancestrales, nous chuchotent des histoires, ils s’allongent et s’étirent, les mots nous visitent, dans ces nuits blanches emplies de solitude, ils savent nous conduire vers l’ange aux plumes de soie, les mots sont des enfants qui nous comblent de joie, petites touches noires sur le blanc du papier, emportés simplement dans un texte solaire, brûlés de soleil, dans les carnets d’enfance, où ils s’en allaient rêver au pays des secrets, ce langage d’un été sous les branches du pommier, ces images anciennes au langage oublié, petits bateaux ivres dans l’océan d’images, ils sont coques vides et sans voiles, ils griffent les étoiles, ils dérivent dans la nuit, les mots ne sont plus, après leur jeunesse éphémère, ils courent à perdre l’âme, les mots se sont perdus, sur le sentier de pierres, un pacte est signé, silence

 
 
 


 
Silence, un pacte est signé, sur le sentier de pierres, les mots se sont perdus, ils courent à perdre l’âme, après leur jeunesse éphémère, les mots ne sont plus, ils dérivent dans la nuit, ils griffent les étoiles, ils sont coques vides et sans voiles, petits bateaux ivres dans l’océan d’images, ces images anciennes au langage oublié, ce langage d’un été sous les branches du pommier, où ils s’en allaient rêver au pays des secrets, dans les carnets d’enfance, brûlés de soleil, emportés simplement dans un texte solaire, petites touches noires sur le blanc du papier, les mots sont des enfants qui nous comblent de joie, ils savent nous conduire vers l’ange aux plumes de soie, dans ces nuits blanches emplies de solitude, les mots nous visitent, ils s’allongent et s’étirent, nous chuchotent des histoires, nous murmurent des légendes ancestrales, ils s’habillent de mystère, compagnons de veille en ces nuits qui s’allongent, dans le silence impossible du sommeil, les mots sont cette voix lointaine et souveraine.

 

 

 

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