"Arraigado ; pero que no se vea tu raíz. ¡ Solo, en el día nuevo, lo verde, el pajaro, la flor ! " Juan Ramón Jiménez
dimanche 13 octobre 2013
renaissance
Le monde se meurt
sur l’heure
toutes ces âmes hors de leur corps
assassinées
mes pas me mènent à elles
dans la boue des ornières
silence des mots
dans le tronc des arbres j’entends leurs voix
leurs respirations
le souffle de vie
le cri
beauté affreuse
des grandes eaux
où les corps nagent
et s’entrecroisent
dérivent
et se mutilent
dans la fange
une voix
d’enfant
aux mots
si purs
la pluie se tait
une
renaissance
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8 commentaires:
Une sanctification
Le monde se leurre...
le monde se meurt.
Image coup de poing,
à couper le souffle.
Leur silence résonne
comme un grand cri
au plus profond de l'âme.
nous allons, nous vivons, nous devenons
très belle peinture
texte très puissant d'une grande conscience , nous avons besion d'êtres aussi sensibles pour créer la resistance
je t'embrasse à bient^to frankie
la révolte d'un monde
la mort au bout du chemin
la renaissance
serait la fin
de l’indifférence
eau de vie
une renaissance en gouttelettes
quelques perles d'eau
une larme dans les sillons de l'âge
le rire d'un enfant
sans voie
une voix mutilée.
Bien à vous
Merveilleuse illustration qui rejoindra la boîte aux trésors au creux de l'arbre. Merci
@ O ...
" sanctification " un mot fort
@ Pierre ...
Et pour l’heure tous ces migrants naufragés m’arrachent le cœur
@ Annick B ...
Un détail Annick, un détail …
@ FRANKIE PAIN ...
" d'une grande conscience " ces mots me touchent , merci beaucoup
A bientôt oui
@ Estourelle ...
La fin de l’indifférence : une ouverture à un monde nouveau
@ Patrick Lucas ...
à boire sans modération ;-)
@ virtuelle ...
Merci Virtuelle, prenez tout ce que vous voulez , enfant j’aimais jouer aux trésors, le creux des arbres étaient de véritables cavernes d’Ali Baba… alors, prenez tout ce que vous voulez, je retourne ainsi en mes jeux d’enfant…
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