"Arraigado ;
pero que no se vea
tu raíz.
¡ Solo, en el día nuevo,
lo verde, el pajaro, la flor !
" Juan Ramón Jiménez
mercredi 4 décembre 2013
la mer gorgée
Des mots de glaise lui collent aux mains labyrinthe cannibale arc-bouté sur la fleur bleue mer pleine gorgée de cent chagrins
cœur d’ardoise la peau se froisse et bruisse dans l’écume le sang bouillonne la vie ses cris
6 commentaires:
François
a dit…
La mer parfois, on ne sait si elle pleure ou elle rit toujours elle recommence sa vie infinie "O récompense après une pensée Qu'un long regard sur le calme des dieux!"
Chère Maria, merci … Oui, la vie est aussi une grande blessure, et la quête commence souvent par la blessure. Par rapport à la douleur de la terre, des animaux, des hommes et des femmes dans l’histoire présente et passée, nos chagrins sont petite chose. Dieu est Grand et Juste. Il est aussi le Grand Consolateur tout près de chacun. Si je l’appelle de tout mon cœur et de toute mon âme, je sens l’humilité profonde et la simplicité de l’enfant prendre place de plus en plus en moi. Je Le remercie, je reste près de Lui. J’apprends que l’humilité telle une caresse très douce reçoit écoute : alors le sourire arc-en-ciel vient prendre sa place en se faisant porteur de paix et de liberté dans l’Amour retrouvé … Il est … dans chaque souffle … Il nous aime.
6 commentaires:
La mer parfois,
on ne sait si elle pleure ou elle rit
toujours elle recommence sa vie infinie
"O récompense après une pensée
Qu'un long regard sur le calme des dieux!"
Chère Maria, merci …
Oui, la vie est aussi une grande blessure, et la quête commence souvent par la blessure. Par rapport à la douleur de la terre, des animaux, des hommes et des femmes dans l’histoire présente et passée, nos chagrins sont petite chose. Dieu est Grand et Juste. Il est aussi le Grand Consolateur tout près de chacun. Si je l’appelle de tout mon cœur et de toute mon âme, je sens l’humilité profonde et la simplicité de l’enfant prendre place de plus en plus en moi. Je Le remercie, je reste près de Lui. J’apprends que l’humilité telle une caresse très douce reçoit écoute : alors le sourire arc-en-ciel vient prendre sa place en se faisant porteur de paix et de liberté dans l’Amour retrouvé … Il est … dans chaque souffle … Il nous aime.
la peau se plisse
se lisse au fil des ans
et le coeur s'ardoise
dans le froid
dans la nuit
La mer aimante ou assassine
@ François ...
et c'est bien ce mystère qui nous la fait tant l'aimer....
;-)
@ Merciel ...
Votre passion toujours me sidère...
merci Merciel
;-)
@ Patrick Lucas ...
merci pour ce bel écho
cette belle résonance
;-)
@ Gérard Méry ...
l'un ne va pas sans l'autre
n'est-ce pas ?
;-)
>>>>> @ vous tous merci tout grand... amitié
;-) ... ::: ;-)
En retard ...
Mots sur pilotis au dessus des miasmes , quand gronde la tempête noire
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