"Arraigado ;
pero que no se vea
tu raíz.
¡ Solo, en el día nuevo,
lo verde, el pajaro, la flor !
" Juan Ramón Jiménez
mardi 28 janvier 2014
blancheur
Inaccessible blancheur étendue infinie cris des étoiles neige solitude de la mémoire vent des vertes herbes parole muette et mots soufflés de givre la présence du blanc immense silence l’œil se tourne voit la blancheur étale lait d’amande cœur de fleur lys silence la terre sommeille
4 commentaires:
François
a dit…
"Des crépuscules blancs tiédissent sous mon crâne Qu'un cercle de fer serre ainsi qu'un vieux tombeau Et triste, j'erre après un rêve vague et beau, Par les champs où la sève immense se pavane."
4 commentaires:
"Des crépuscules blancs tiédissent sous mon crâne
Qu'un cercle de fer serre ainsi qu'un vieux tombeau
Et triste, j'erre après un rêve vague et beau,
Par les champs où la sève immense se pavane."
Stéphane Mallarmé
Chère Maria,
C'est infiniment beau ...
texte magnifique
excellent
merci maria
C'est chez moi, le blanc, au sud, l'écume ; au nord, le brouillard. Reste le regard qui permet de s'orienter, d'orienter sa vie à bien y regarder.
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