"Arraigado ;
pero que no se vea
tu raíz.
¡ Solo, en el día nuevo,
lo verde, el pajaro, la flor !
" Juan Ramón Jiménez
samedi 1 février 2014
intrinsèque
Dans le ventre de la pierre le cœur s’agrippe aux pleurs corps meurtri d’amour respiration des jours chants des ciels sans nombre draps de fil blanc les yeux de l’âme se penchent et voient le noir et le rouge de la nuit survie
impudique est le silence lorsque le mot expire soupir des grèves sous les pierres vierge morte
8 commentaires:
j'aime ta photo..peinture ?
Au coeur de l'âme
est la naissance
la photo oui - mais au moins autant ce qu'elle a dicté
c'est beau ♥♥♥
j'expérimente
Je lis cette conscience intérieure qui ouvre les voies de l'accomplissement.
Comme dans la pierre , le ciel est infini comme un fond de l'âme
Parcelle de lumière
@ Gérard...
Photo de l’intérieur d’une géode
@ O...
juste
@ brigitte celerier...
merci
@ J... ...
♥♥♥
@ Patrick Lucas...
Très bonne initiative
@ O ...
Peut-être
@ arlettart ...
Sans fond… sans fond est l’âme…
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