La limite de ces voyages qui emportent si loin, c'est que ceux qui en reviennent ont suivi des traces inconnues des êtres qu'ils ont laissés. Il se fait comme une frontière entre eux et leurs anciennes connaissances, leurs amours défuntes... Comme s'il devenait presque impossible de se reconnaître...? Pardon : j'oublie de dire que j'ai beaucoup aimé ce poème, pour l'humeur, l'état d'âme du voyageur, les besoins de ses blessures... Jolie plume !
3 commentaires:
La limite de ces voyages qui emportent si loin, c'est que ceux qui en reviennent ont suivi des traces inconnues des êtres qu'ils ont laissés. Il se fait comme une frontière entre eux et leurs anciennes connaissances, leurs amours défuntes... Comme s'il devenait presque impossible de se reconnaître...?
Pardon : j'oublie de dire que j'ai beaucoup aimé ce poème, pour l'humeur, l'état d'âme du voyageur, les besoins de ses blessures...
Jolie plume !
il en est beaucoup ainsi
sur les routes côtières
des naufragés de la mer
"Il était mort, et il est revenu à la vie ; il était perdu , et il est retrouvé."
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