La réalité s’incruste
– délier – gommer
poésie consolatrice
– elle dit le manque
l’absence
– elle dit ce qui serait et qui n’est pas
prémisses de la poésie
– le sel du langage
la présence de l’instant
l’étincelle de la matière
l’ombre d’une vie
viens que je te dise l’empreinte
- l’encre noire
le blanc articulé de chaque mot
ses osselets de verre
cette présence intime
- cet autre là-bas
comme le vent dans les herbes
signes énigmatiques à la blancheur de lait
tombés là en silence
comme neige
dans le pré
8 commentaires:
un regard perdu entre les
grandes herbes qui s'agitent
au vent froid de neige blanche
plus loin très haut s'en vont
trois nuages noirs glacés
frileux
L'autre, là - bas
Entre les lignes et traits noirs
une lumière diffuse
Espoir
Comme un grand piano noir jouant ses notes de lumière.
Très belle encre, très beau texte.
Je vous salue chère Maria
texte et peinture en noir et blanc
Je suis venue ...
J'ai écouté, Ma Maria et j'ai aimé ...
"La vérité fuit comme de l'eau entre les doigts - qui sont les mots. "
Pierre Soulages
J'♥♥♥
pleine d'ombre
la brosse
révèle les mots
dans ses oublis de lumière
Bon W.E Maria
@ Patrick Lucas...
entre blanc et noir
la lumière nait
@ arlettart ...
Aujourd'hui est
Demain sera
@ François ...
en noires et blanches
je vous salue ami
@ Gerard ...
et en sous-jacent une pointe de rouge
@ Kaïkan ...
Vers toi je vais chère kaïkan
J... ...
Soulages
J'♥♥♥
merci
abrazo
@ Yanis Petros ...
Merci beaucoup pour vos jolis mots
et leurs "oublis de lumière"
beau jour à vous
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