Fraiche l’écume
douceur de lait
son cœur est de lune
visage aveugle
parfois ouvert
parfois fermé
une caresse l’érode
lui dénude le cou
la nuit
le jour
sa force
sa violence m’effraie
me tire par la cheville
m’enracine dans cette glèbe de lait
7 commentaires:
do ré mi fa glèbe
Mer si la mi ré mi Mer y
;-)
cette mousse sur la peau
qui découvre le paysage
du corps
bravo Maria
Ainsi s'élève, le chant de la terre.
Bel été à toi.
Roger
La terre, la mer, le ciel
l'homme, la femme, l'enfant
@ Patrick Lucas ...
un va et vient
sans cesse recommencé
@ Gérard ...
;-)
@ LE CHEMIN DES GRANDS JARDINS ...
il s'élève jusqu'aux racines du ciel
bel été à vous aussi
merci
@ François ...
toute une vie ...
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