Au fond de ma gorge
des mots griffés par les épines
traces moins douloureuses que le silence
il suffit de s’éloigner du bord de l’ombre
pour dire la beauté d’une larme en fleur
cœur en arrêt
épiant ce que le jour vole à la nuit
***
pour Estourelle ... en partage
autour d'une bière allemande
4 commentaires:
Egratignure
dans sa bulle éraillure
p'tite enluminure !
@ Den...
merci pour vos mots
et bienvenue ici
Les gens ils conviendrait
de ne les connaître que disponibles
à certaines heures pâles de la nuit
près d'une machine à sous
avec des problèmes d'hommes
simplement
des problèmes de mélancolie
Alors on boit un verre
en regardant loin
derrière la glace du comptoir
et l'on se dit qu'il est bien tard!
...
Richard! ça va!
Oh merci merci !!!
J'AIME !!! J'AIME
J'avais 17-18 ans
et ce vinyle je l'écoutais en boucle
avec celui d'Avec le Temps ... et je me disais :
"je ne pourrais pas vivre avec quelqu'un qui n'aime pas Ferré"
Et je vis depuis longtemps avec quelqu'un qui est un inconditionnel de Ferré.
Ferré fait partie de Lui, de Moi ... Ferré est inépuisable, toujours quelque chose à découvrir en lui ... Ferré nous rassemble, il est notre "ciment".
J'aime à penser que quelque part quelqu'un aussi ressent cette chose là.
Et, je me dis que nous sommes nombreux à ressentir cela, alors le monde n'est pas perdu.
je t'embrasse Estourelle
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