Épines du rosier
fureur et mystère
à présent tout disparait
force vive
fureur latine
tout revient
visages peints de couleurs byzantines
fenêtre ouverte
déchirure bleue
le ciel
comme un rêve suspendu
une mémoire vive toujours indemne
sous la soie de la nuit
sous le satin du jour
le souvenir persiste
cœur blessé dans le vertige
des fleurs en couronnes
mains serrées - cœurs déployés
la jeunesse a pris de l’âge
la route s’étire vers l’infini
où l’aube chante
où le temps fuit
fenêtre ouverte sur la vie
les larmes bues
le ciel repu
le grand voyage
au gré du vent
2 commentaires:
"la route s’étire vers l’infini
où l’aube chante
où le temps fuit"
oui
et que l'image est belle
Merci Brigitte
pour vos mots
vos encouragements
et votre fidélité
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