Saison dévastée
ni l’herbe ni les oiseaux
gobent le soleil
Le ciel éraflé
il souffre en silence
son œil écorché
Avenir porté
les erreurs sous les branches
fleurs de vérité
Ombres en marche
mystère et tragédie
d’un royaume perdu
Une grande peur
va de branche en branche
éclat de rire
Cœur étincelant
d’une image joyeuse
tout recommence
Un regard d’espoir
pont franchi grille trouvée
le cœur soulagé
Herbes absentes
le désert décomposé
oiseaux revenus
Sommeil achevé
la clé est sur la porte
et ouvre le temps
La main est ferme
dans sa paume offerte
les clés du royaume
2 commentaires:
un cycle qui finit bien
Comme une semence
qui croît et s'élève
la vie, où qu'elle soit
Merci Brigitte
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