Je feuillette le livre
son visage de feuilles
son corps
son âme de vent
son cœur
la gaité de son encre
fumée volage des mots
ce goût d’adolescence
et d’enfance vive retrouvée
cornée la page se souvient
la première phrase :
« quelque chose a eu lieu »
le sommeil
cette inquiétude d’or liée au raisonnable
4 commentaires:
Cet inconnu en soi, invisible et impalpable, qui éblouit dans son silence.
Quand les mots ne suffisent plus
feuilleter ses souvenirs
et se rappeler que quelque chose a eu lieu
Complémentarité de la couleur est des mots suffisent ici, à faire advenir la poésie.
Belle fin de semaine en amitié.
Roger
@ vous ... avec vos mots
Cet impalpable silence
quand les mots suffisent
à faire advenir la poésie.
merci
Enregistrer un commentaire