L’ombre
du rêve
la mort
sur la plage
on se demande
hésitant
dans le vent
les fleurs perdues
si proches
les rides
tout au rapiècement
longues heures
devant ce qui se tient
à composer
les notes une
à une
sur les lèvres
à brûler des ronces
devant le feu
que reste-t-il
la fumée
les ouvertures mêlées
les heures abandonnées
1 commentaire:
Je dirais :
au rapiecement
Tu reponds :
les heures abandonnées
Petit bonhomme :
il brûle les ronces
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