pleurs [1]
Il marche et va
brisures du vent
il tourne
soleil couchant
ses rêves sont de papier
une impression
une illusion
il va il marche droit devant
une méprise est sa route
sous son pied les cailloux versent des larmes
cris de l’enfant perdu
au cœur du temps
le gel s’installe
tout est si blanc
5 commentaires:
je n'en viens chez toi
m'en retourne chargé
de mots blancs ou rouges
plein la tête
Libre, libéré de tout attachement son cœur est blanc comme la page à écrire. Nuditè qui s'enchante de soi-même, tellement elle est ivre d'arc-en-ciel ...
Blancheur silencieuse après le grand chagrin
Erreur de parcours !! le soleil était si beau et les pleurs des gouttes de rosée
L'enfant riait
Soleil rouge en plein front
Rivière souterraine de sang
Courent la prétentaine
La nuit sur pilotis
Lance à grands traits
Ses "armes miraculeuses"*
*Aimé Césaire (1947)
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